lundi 27 août 2007

Smashing Pumpkins - Disarm


Disarm you with a smile
And cut you like you want me to
Cut that little child
Inside of me and such a part of you
Ooh, the years burn

I used to be a little boy
So old in my shoes
And what I choose is my choice
Whats a boy supposed to do?
The killer in me is the killer in you
My love
I send this smile over to you

Disarm you with a smile
And leave you like they left me here
To wither in denial
The bitterness of one whos left alone
Ooh, the years burn
Ooh, the years burn, burn, burn

I used to be a little boy
So old in my shoes
And what I choose is my voice
Whats a boy supposed to do?
The killer in me is the killer in you
My love
I send this smile over to you

The killer in me is the killer in you
Send this smile over to you
The killer in me is the killer in you
Send this smile over to you
The killer in me is the killer in you
Send this smile over to you

vendredi 24 août 2007

Bon...

Bon, mon horrible corps m'a assez emmerdé. Je prends pour la quarante-troisième fois la décision de faire un peu de sport chaque jour et d'arrêter de me goinfrer et de boire comme un trou des boissons qui font grossir.

C'est tout.

jeudi 23 août 2007

Bon ben voilà...

Bon ben voilà, j'ai à peu près respecté mes engagements et mon programme et je sais pas trop ce que ca a donné. Je me suis fait chier à étudier tout mon cours, du début à la fin, pour finalement entendre ce tocard qui me sert de prof dire que "les questions ne réservaient pas de surprise" et pour cause, c'était les mêmes qu'en juin. J'ai ragé comme un malade. D'autant plus qu'en juin, je pensais vraiment avoir cartonné et j'en suis sorti avec un 7, et là j'ai pas l'impression d'avoir dit grand chose de plus que la première fois. Quelle merde.

Prochain examen mardi. Ca va saigner. Mais aujourd'hui, repos du guerrier.

Hier soir, les belges ont gagné au foot. 3-2. Putain, je ne me souvenais même plus de ce que ce mot signifiait, "gagner".

Ou sinon, j'ai tellement plus l'habitude de recevoir des câlins d'autres personnes que ma mère et ma soeur que hier, par pur réflexe, j'en ai littéralement snobé un d'une copine. Je rage à mort.

mardi 21 août 2007

Un p'tit article torché...

Un p'tit article torché pour crier au monde mon désarroi devant le fait qu'il est déja 13h30, que j'ai un examen demain à 14h40 et que je suis tout sauf prêt. Faut toujours que je m'y prenne à la dernière minute, putain.

J'officialise ma décision ici même, histoire qu'elle s'ancre un peu plus dans ma cervelle : plus d'ordi avant demain 16h, révisions intensives de... maintenant à 19h et de 20h à 22h minimum. Pause manger, pause caca, pause 7-8-9ème-Ice-Tea-de-la-journée.

Point barre.

Ou sinon, une fois encore, je ne verrai pas Laura demain puisqu'elle a examen le matin. Ca m'saoule et en même temps ca m'rassure : j'ai vraiment une tête de ouf' en ce moment. Même si ca n'est et ca ne restera qu'une amie, j'aime pas avoir l'air con gratuitement devant les gens que j'estime un minimum.

Je ne verrai pas non plus Catherine, d'ailleurs (la nouvelle femme de ma vie, voir 2 ou 3ème article). Pas plus mal, encore une fois au vu de ma dégaine actuelle.

dimanche 19 août 2007

Jeff Buckley - Hallelujah (original version by Leonard Cohen)


I heard there was a secret chord
that david played and it pleased the lord
but you don't really care for music, do you
well it goes like this the fourth, the fifth
the minor fall and the major lift
the baffled king composing hallelujah

hallelujah...

well your faith was strong but you needed proof
you saw her bathing on the roof
her beauty and the moonlight overthrew you
she tied you to her kitchen chair
she broke your throne and she cut your hair
and from your lips she drew the hallelujah

hallelujah...

baby i've been here before
I've seen this room and i've walked this floor
I used to live alone before I knew you
I've seen your flag on the marble arch
but love is not a victory march
it's a cold and it's a broken hallelujah

hallelujah...

well there was a time when you let me know
what's really going on below
but now you never show that to me do you
but remember when I moved in you
and the holy dove was moving too
and every breath we drew was hallelujah

well, maybe there's a god above
but all i've ever learned from love
was how to shoot somebody who outdrew you
it's not a cry that you hear at night
it's not somebody who's seen the light
it's a cold and it's a broken hallelujah

hallelujah...

Lundi, 1h30 du matin...

Lundi, 1h30 du matin. Je n'ai toujours pas ouvert mon cours de philo alors que mon examen est dans deux jours. Quel abruti.

Encore une session que je ne vais pas réussir. Enfin, disons que mes chances de réussite sont étroites comme les vagins de ces putes que nous baisions dans les bordels en 67 à Saigon, comme dirait Fuzati.

Je pense avoir trouvé la direction que je vais donner à ce blog. En fait, je m'en doutais un peu depuis le début, et ca s'est confirmé avec le temps (enfin, avec les deux-trois jours qui se sont écoulés depuis la création de ce blog). Etant un inconditionnel de musique, ce blog servira surtout à faire découvrir aux gens que j'apprécie la musique que j'adore.

En espérant les contaminer, un peu...

samedi 18 août 2007

Bat For Lashes - What's a Girl To Do


We walked arm in arm
But I didn't feel his touch
The desire I'd first tried to hide
That tingling inside was gone

And when he asked me
“Do you still love me”
I had to look away
I didn't want to tell him
That my heart grows colder with each day

When you've loved so long
That the thrill is gone
And your kisses at night
Are replaced with tears

And when your dreams are on
A train to train-wreck town
Then I ask you now
What's a girl to do

He said he'd take me away
That we'd work things out
And I didn't want to tell him
But it was then I had to say

Over the times we've shared
It's all blackened out
And my bat lightning heart
Wants to fly away

When you've loved so long
That the thrill is gone
And your kisses at night
Are replaced with tears

And when your dreams are on
A train to train-wreck town
Then I ask you now
What's a girl to do

What's a girl to do
What's a girl to do
What's a girl to do

Aussi loin que je me souvienne...

Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu que ma vie ressemble à une de ces séries télé dont je parle dans un de mes premiers articles, ou les ados sont tous des gravures de mode, même les rejetés et où il ne se passe pas une semaine sans incroyables aventures, rebondissements inattendus. Où les histoires de coeur semblement tellement vraies, profondes, sincères même si elles se terminent souvent pour ne pas dire toujours dans les larmes. Où la vie semble valoir la peine d'être vécue, en fait.

Ma vie à moi me semble incroyablement fade. Lisse. Mes journées se suivent et se ressemblent à s'y méprendre, rythmées par le même rituel, les mêmes évênements, les mêmes personnes. Que je les aime ou pas ne change rien. Tout cela manque d'imprévu. De piquant. D'émotions.

Je me sens comme Emma Bovary.

Et pourtant, ma vie s'est sensiblement améliorée ces derniers temps. Ces quatre dernières années, en fait. Ce sont les premières m'ayant offert de réels motifs de satisfactions depuis mes onze ans. Les premières à m'avoir fait ressentir des choses. A m'avoir donné de véritables émotions. Des souvenirs. Heureux comme tristes.

Mais cela ne me suffit pas, apparemment.

Je veux me sentir vivre, putain. Sentir mon coeur battre dans ma poitrine. Mon estomac se serrer. Mes tripes disparaître et réapparaître aussi sec. Ma cervelle exploser.

Juste vivre.

vendredi 17 août 2007

C'est vrai, ces conneries ?

C'est vrai, ces conneries comme quoi écouter de la musique avec des écouteurs au volume maximal peut rendre totalement sourd ?

Parce que si c'est vrai, la chanteuse de Bat for Lashes est en train de me tuer les tympans.

Au moins, la dernière chose que j'aurai entendue ne sera pas de la merde.

James Delleck - Sonate pour une gouttelette


J'ai grandi lentement, sur le bord d'une bouche de métal
pendant que d'autres ont la chance d'être la rosée sur un pétale

Personne ne prend conscience de mon réel
j'ai dans le corps toutes les couleurs de l'arc-en-ciel

Je sens qu'il va falloir que je m'élance
je laisse derrière tous mes souvenirs d'enfance

Plus je grandis et plus j'ai le vertige de la vie
plus je grossis et plus le vide m'attire vers lui

Adieu je me décroche de la plateforme
je tombe caressée par le vent qui me déforme

Je vole et virevolte malgré l'implacable trajectoire
Eole fais-moi danser ou fais-moi le croire

Trop vite la vasque approche dangereusement
pourtant j'ai prié espérant arrêter le temps
Mais...

Ca y est, il fait tout noir
je me suis éparpillée comme les éclats d'un vieux miroir

Je n'étais qu'une petite gouttelette au sourire muet
à travers moi la lumière se sublimait

Juste une petite gouttelette inutile et délicate
qui une fois morte avait bien droit à sa sonate

Hier, à midi...

Hier, à midi, j'ai rencontré la femme de ma vie. Enfin, la nouvelle femme de ma vie (cinquième, sixième ?).

J'en ai un peu marre de craquer comme ca sur des filles que je connais à peine, genre série télé pour midinettes. Enfin, j'en ai surtout un peu marre que ces flashs n'aillent que dans un sens. C'est forcément jamais réciproque. Et je me retrouve toujours comme un con à rager comme jamais pour une fille qui m'est limite inconnue.

Il serait peut-être un peu temps que je me trouve une copine. Et une sensibilité masculine aussi, putain. Normalement, cette fille, je dois avoir envie de la baiser avant de la jeter, pas de la serrer dans mes bras comme une fiotte.

Bon, à part ca, rien de bien palpitant à vous conter. Je suis censé être en train d'étudier mon cours de philo' et à la place, je vous raconte mes conneries avant de me taper devant un ou deux épisodes de The OC (Seth je t'aime).

J'suis vraiment débile.

jeudi 16 août 2007

Patrick Park - Something Pretty

Here I am, where I’ve been
I’ve walked a hundred miles in tobacco skin,
And my clothes are worn & gritty.
And I know ugliness,
Now show me something pretty.
I was a dumb punk kid with nothing to lose
And too much weight for walking shoes.
I could have died from being boring.
As for loneliness,
She greets me every morning.

At the most I’m a glare,
I’m the hopeless son who’s hardly there.
I’m the open sign that’s always busted.
I’m the friend you need, but can’t be trusted.

At the most I’m a glare,
I’m the hopeless son who’s hardly there.
I’m the open sign that’s always busted.
I’m the friend you need, but can’t be trusted.

Here I am, where I’ve been
I’ve walked a hundred miles in tobacco skin,
And my clothes are worn & gritty.
And I know ugliness,
Now show me something pretty.

At the most I’m a glare,
I’m the hopeless son who’s hardly there.
I’m the open sign that’s always busted.
I’m the friend you need, but can’t be trusted.

At the most I’m a glare,
I’m the hopeless son who’s hardly there.
I’m the open sign that’s always busted.
I’m the friend you need, but can’t be trusted.

Des choix de radio.blog.club...

Putain, radio.blog.club, ça a du bon bien sûr mais putain, ça a aussi sa part de mauvais. C'est pas censé te sélectionner une petite liste de morceaux à peu près semblables à celui que tu écoutes ?

Alors putain, on peut m'expliquer pourquoi ce site en mousse vient de me faire sauter de James Delleck à Superbus ?

Ce n'est pas vraiment...

Ce n'est pas vraiment mon premier blog, ce ne sera certainement pas le dernier, et comme tous les autres il se retrouvera plus que probablement à l'abandon dans quelques jours, quelques semaines au plus.

Mais bon, on ne se refait pas. On continue d'avoir envie d'écrire, de coucher sur papier virtuel ses pensées et réflexions pas profondes pour un sou, de consigner les plus infimes moments de sa petite vie sans intérêt pour pouvoir s'en rappeler plus tard la larme à l'oeil, de partager ses goûts littéraires, télévisuels et surtout musicaux....

Alors voilà. Welcome in my blog.

J'sais pas encore ce que vous y trouverez, probablement rien de bien passionnant mais bon.

On verra.